dimanche 14 septembre 2014

A la recherche des jardins suspendus de Babylone


Un jour, j’ai vu un reportage sur Arte qui parlait de la recherche des jardins suspendus de Babylone. C’était il y a quelques mois déjà. Et en le regardant, je me suis dit que c’était très intéressant, j’avais appris des tas de trucs, mais je savais que j’en oublierais malheureusement 95%... A moins que je ne le travaille. Que je ne me force à m’en souvenir ou que je l’écrive. D’où l’idée initiale de ce blog : en écrivant quelques heures ou quelques jours après avoir vu/lu quelque chose d’intéressant, non seulement j’aurai une trace pour plus tard, mais surtout je pense que je retiendrai plus facilement les éléments clefs… Ce blog n’a donc d’autre ambition que d’être un pense-bête, une mémoire externe…

Pour en revenir à Babylone et à sa merveille du monde. Comme craint, quelques mois plus tard, il ne reste plus grand-chose de ces 52 minutes… Il s’agissait d’une archéologue allemande qui, je crois, pensait que les jardins ne devaient pas être cherchés à Babylone, mais dans une autre ville du nord de l’Irak, capitale antique d’une civilisation concurrente ou antérieure. Impossible de me souvenir du nom de cette civilisation séculaire, de sa capitale ni de son souverain. Impossible d’être sûr que le passage sur une porte bleue (la porte d’Ishtar, entrée de Babylone ?), sacrée pour les irakiens et exposée dans un musée allemand, faisait partie du même reportage. Même chose pour ces images satellites des fouilles sauvages sur un site babylonien qui font sembler ce coin d’Irak à un portion lunaire bombardée de météorites et qui s’explique par le marché noir des tablettes couvertes d’écritures cunéiformes, qui passent de 10 à 1000 euros « du producteur au consommateur final ».
 
[Édit plus de 6 ans après l'écriture de cet article inaugural : un nom qui conviendrait également à ce blog serait : "y'a un bordel là-dedans"]

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