vendredi 19 décembre 2014

Troisième humanité de Bernard Werber

Je viens de terminer les deux premiers tomes de la nouvelle triologie werberienne, 20 ans après les Fourmis.

Comme d'habitude, rien de structuré dans mon propos mais quelques réflexions :
  • Déjà je les ai dévoré, ce qui est bon signe, même si on s'inscrit vraiment dans la continuité des dernières productions et qu'il n'y a rien de révolutionnaire. Werber comme à son habitude fouille dans ses domaines de prédilection, déroule avec efficacité des fils qui dépassaient ça et là dans des ouvrages précédents.
  • Moins de longueurs que dans quelques écrits récents. Il ne tombe pas dans le piège de nous expliquer pendant plusieurs pages ce que nous aussi nous avons lu dans une revue scientifique...
  • Un petit point me chagrine (attention c'est un spoiler), l'humanité précédente a été engendrée par l'union d'un singe et d'une truie. Bien, mais il est difficile de comprendre pourquoi ces premiers hommes mesuraient 17 mètres dans ce cas.
  • Magnifique utilisation de "mystères" de l'humanité : par exemple, pourquoi on retrouve les pyramides ? Ou les cosmogonies peuplées de géants combattus par des héros dans beaucoup de mythologies qui n'ont a priori jamais été en contact.
Bref, du bon Werber, des pistes qu'on a envie d'expérimenter nous-mêmes également (l'autohypnose , faire des recherches sur les liliputiens, l'origine du mythe des vampires...) et la volonté sans aucun doute de lire le tome 3 qui vient de paraître...

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